22/01/2010

Apocalypse

Lu hier soir l'Apocalypse de Jean.
Quel souffle !

Misères, tourments, piqures, ulcères, feu et tremblements de terre, rien n'est épargné aux hommes. Au fil de la révélation, les maux se complexifient, les souffrances se "raffinent"...
Et puis, les derniers paragraphes : la Jérusalem céleste descend lentement... Le rythme se calme.

"Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre ; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n'était plus. (...) Et j'entendis du trône une forte voix qui disait : Voici le tabernacle de Dieu avec les hommes ! Il habitera avec eux, et ils seront son peuple, et Dieu lui-même sera avec eux. Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu."
(21, 1 et 21,3-4)

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